Bienvenue au pays de la richesse d’archéologique. Le Karnataka, c’est tout simplement un état aux multiples mondes car, on peut trouver ici toutes sortes de thèmes qu’un voyageur recherche ! Cet État sophistiqué est célèbre pour son patrimoine culturèle, ses paysages pittoresques et son artisanat traditionnel. Culturellement diversifié et historique, le Karnataka occupe une position prestigieuse sur la liste des touristes. Pour ajouter à cela, le Karnataka est trop connu d’activités d’aventure et de sports nautiques. Dans notre itinéraire du Karnataka comprennent les lieux des monuments du patrimoine de l’UNESCO à Hampi, Badami, Aihole et Pattadakal jusqu’aux parcs nationaux de Bandipur et de Nagarhole, vous pouvez adorer sa beauté. C’est l’État avec le plus grand nombre de présence de la communauté jaïn comme Shravanabelagola, Moodabidri, Venoor, Karkala, etc. Au nord, l’État a son verdict envers les monuments de la dynastie moghole à Bijapur, Bidar, Belgaum, Gulbarga, etc. La côte historique de Konkan la partage contribution à l’attraction naturelle de l’État avec les Ghâts occidentaux de l’UNESCO d’un côté et des villes balnéaires fascinantes comme Karwar, Gokarna, Murudeshwar, Udupi à Mangalore. La beauté des paysages époustouflants, ondulants et à couper le souffle qu’elle offre aux voyageurs tout au long du chemin. Nous proposson de notre clients des forfaits touristiques exclusifs avec des itinéraires sur mesure, un séjour confortable et un voyage en toute sécurité avec des chauffeurs professionnels pour découvrir ce pays béni qui attire l’attention des touristes qui recherchent des vacances parfaites en Inde. Bangalore Souvent surnommée “La Silicon Valley de l’Asie” en raison de son industrie informatique en plein d’essor, Banglore est la cinquième ville de l’Inde et celle qui connaît la développement le plus rapide. Jusqu’au boom du secteur des hautes technologie, à la fin des années 1980, elle etait appelée “La Ville Jardin” à cause de sa vététation luxuriante et de son agréable climat tempéré. Aujourd’hui, avec sa population de jeunes cadres en plein dévéloppement, son ambiance est devenue cosmopolite et branchée. Gréée au 16ème siècle par un chef local. Bangalore est le principal point d’accès de l’Etat de Karnataka. Il est relié par air à Mumbai, Chennai, Delhi, Hyderabad, Coimbatore, Jaipur, Udaipur et Kochi etc. Le chemin de fer le relie à Mumbai, Chennai, Delhi, Kochi et Mysore etc. Bonnes routes permettant de rayonner dans le toutes les directions. Ressources hôtelières très satisfaisantes. Bangalore est un grand centre industriel, technique, et universitaire. Parmi les usines, on peut citer l’aéronautique , l’électronique, les machines-outils, les montres, le matériel téléphonique. La ville, à l’altitude 930m. offre un séjour agréable même au coeur de l’été. C’est la ville la plus moderne du Sud de l”Inde. S’il est agréable de traverser cette ville aérée, au rues ombragées de banyans et de flamboyants, aux parcs accidentés et toujours verts, le visiteur ne trouvera à Bangalore que peu de curiosités touristiques. Le musée présente des collections d’histoire naturelle, quelques belles sculptures et des souvenirs se rattachant aux luttes de Tippu Sahib contre les Britaniques. A 60 km N, le site de Nandi est aménagé en station climatique. Au sommet à 1600m d’altitude, se dresse le nid d’aigle du Nandidurg, cette forteresse de Tippu – Sahib fut enlevée par un coup de main audacieux en 1791. Un “Rocher de la mort” sur la ligne de fortifications, domine le précipice de plus de 300m, de ce Tippu’s Drop étaient jadis, selon le tradition, jetés les prisonniers. Il est curieux de découvrir sur ce sommet une source pérenne, Amrita Sarovar, ‘bassin du nectar des dieux’ aménagé au 18ème s. entourée de vénération. Le Fort est à 4km de la gare, on y accède par une route ou par un escalier de plus de mille marches. Vidhana Soudha Cet imposant bâtiment en granit et en porphyre abrite le Secrétariat et le Parlement du Karnataka. Construit en 1956 après le transfert de pouvoirs de la dynastie des Wodeyar au gouvernment central, il faut conçu par Kengal Hanumanthaiah, Premier ministre de l’époque, qui voulait un bâtiment à l’image de la puissance et de la dignité du peuple, il est couronné par un dôme de 20m de haut, surmonté par le lion d’Ashoka à quatre tête, symbole de l’Etat indien. Avec ses jharokha rajasthani, ses piliers indo-saracéniques et ses autres éléments décoratifs, le Vidhan Soudha illustre le style néodravidien du Bangalore d’après l’indépendance. Les boiseries de l’intérieur, notamment la porte en bois de santal de la Cabinet Room et le Speaker’s Chair en bois de rose de Mysore, sont magnifiques. Le bâtiment, illuminé, est spectaculaire le dimanche soir. La Ville Jardin Le Contonment de Bangalore fut créé en 1809, pour accueillir les soldats britannique stationnées ici au xixème siècle. Avec ses rues ordonnées, ses maisons aux avant-toits caractéstiques et ses pelouses, ses arbres et ses fleurs, la ville fut surnommée ‘La ville jardin de l’Inde’ Véritable poumons de la ville, ses deux grands parcs, Cubboon Parc et Lalbagh, ainsi que de nombreux autres espaces verts plus petits, comme Kensington Garden, son des havres de paix permettant d’échapper à l’agitation des rues. La ville est particulièrement charmante en janvier et en août, lorsque fleurissent dahlias, soucis et roses. Chamundi Hill à 10 km de la ville, domine l’horizon de Mysore. En s’y rendant, on pourra voir au passage l’ancien palais des hôtels du Maharajah (Lalit Mahal) aménagé en hôtel. Le mont Chamundi (1150m) domine l’ensemble du plateau de près de 400m et offre un panorama imposant. Au sommet s’élève le Palais d’été du Maharajah. Légèrement en contre-bas, sur une étroite plate-forme, un temple est dédié à Durga (Kali) la déesse terrible qui fut sans doute aux temps pré-brahmaniques la divinité primordiale des Dravidiens. Comme Durga ou Kâli fut par la suite assimilée à la parèdre de Shiva, il n’est pas étonnant de rencontrer à mi-pente la monture du dieu, un colossal Nandi tiré d’un monolithe de granite noir. Sculpté en 1659, il a plus de 5 m de haut, l’artifice du sculpteur et la vénération des fidèle ont donné à cette pierre l’aspect d’un bronze. Palais de Tipu Sultan
Category: Blog
La configuration géographique du Kerala est très particulière, cet État forme comme un grand quartier qui s’étire sur 600 km du Nord au Sud, le long de la côte du Malabar, en ne dépassant pas 125 km en sa plus grande largeur. Disposé en trois bandes parallèles, le Kerala offre tout à tour ses plages, ses plantations et ses forêts, une plaine alluviale borde la mer l’Oman ou “mer des Arabe” au bleu intense, c’est le domaine de l’eau, océan, fleuves, canaux et lagunes, une ligne de collines et de plateaux au sol brique, ce sont les degrés de la “terre des épices” enfin les montagnes boisées forment la muraille des Ghâts occidenttaux ouverte par de rares cols dont le plus accessible est la trouée de Palghat qui mène au Tamil Nadu. Moins riche en temples anciens que ne le sont Tamil Nadu et Mysore, le Kerala offre avant tout ses sites naturels. C’est une des plus belles régions de l’Inde, plages infinies de sable fin, mer océanienne ourlée d’une barre puissante, végétation luxuriante à l’assaut des grèves collines à plantation ordonnées, puis a l’Est forêts dense abritant une foune respectée (éléphants sauvages dont certains seront domestiqués, buffles redoutables – les gaurs si dangereux – panthères, sangliers, cervidés divers et même des tigres. Bien que le Kerala n’offre rien d’exceptionnel en architecture hindoue, on doit noter qu’il possède un style propre dans la construction de ses sanctuaires. Le sud de l’État, l’ancien Travancore, est marqué d’influences dravidiennes venus du Tamil Nadu, gopuram, vimanas pyramidaux, trois plats en “plaches de pierre” on retrouvera ces forme au grand temple de Trivandrum. Le centre et le nord du Kerala connaissent une autre inspiration qui est nettement influencée par l’adaptation à l’un des climats les plus humide de l’Inde comme par les matériaux généreusement offerts par les sols de la région, pierre rouge latérique, briques et tuiles, bois de teck imputrescible. Cochin – Ernakulam On parvient à Cochin (Kochi) par la route côtière et à Ernakulam par la route de l’intérieur, les deux pôles de cette large lagune parsemée d’îles, découpée de presqu’îles allongées. Cochin ou Fort Kochi est bâti sur un cordon littoral maintenu par des quais et des endiguements. Ce fut le premier établissement portugais en Inde. Quand on consulte les premières cartes occidentales dressées par les Hollandais au 17ème s. on se rend compte que le littoral n’est pas parfaitement stabilisé ou qu’il ne l’est devenu que par le travail de l’homme, jetées, quais, endiguements, chennaux entretenus ont seuls permis de faire de ce site un grand port moderne de plus de 2.11 millions habitants. Ernakulam: sur la rive orientale de la lagune, est l’ancienne capitale de l’État de Cochin. Elle recèle peu de souvenirs anciens, à part un temple de Shiva dont les fêtes pittoresques se célèbrent en janvser. Il se donne assez souvent de spectales de Kathakali à Ernakulam. Île de Willingdon. On y parvient par un pont c’est le point d’arrivée pour les voyageurs gare et aéroport. Entre Willingdon et le cordon littoral où feut construit Fort Kochi s’étendent les quais et les docks du port moderne. Cochin ou Fort Kochi: est bâti sur un cordon littoral maintenu des quais et des endiguements. Ce fut le premier établissement portugais en Inde. Vasco de Gama y vint négocier l’installation d’une première <feitoria> en 1502. Albuquerque ayant rendu quelque services au Rajah de Cochin obtient le droit un fortin de bois, près duquel il construisit une égilse confinée aux Franciscains, l’actuelle église Saint François. C’est en ce fort que mourut Vasco de Gama en 1524, il y fut inhumé avant d’être ramené au Portugal en 1538. Saint François Xavier séjourna à Cochin en 1543. Le cathédrale Santa Cruz fut consacrée en 1557 et vint ans plus tard les Jésuites établirent une imprimerie dans l’etablissement portugais. En 1661, les Hollandais s’emparèrent de la position de l’époque portugaise seule subsiste l’égilse Saint- Fraçois transformée en temple réformé. L’occupation britanique fut assez mal accueilli males nouveaux maîtres en vinrent même à faire sauter la cathédrale Santa Cruz qui aurait pu devenir un point de resistance. Le cathédrale ne fut restaurée qu’à la fin du XIXe s. et terminée en1904, belle façade, mais intérieur pompeux qui évoque un baroque ibérique décadent. Quartier de Mattancherry: Dans le presqu’île, au S de Fort-Cochin, s’étend le quartier de Mattancherry avec sa fameuse rue dite “la ville juive”une petit communauté israélite y survit, entretenant deux synagogues et un cimetière dit Beth-Haïm, “la maison de la vie”. Cette communauté s’établie à proximité du Fort et s’est développée après la conquête hollandaise en 1661, comme en témoigne la plus ancienne tombe de Beth-Haïm datée de 1666. Mattancherry Palace: Non loin de la Ville Juive le Mattancherry Palace, plus tard le bâtiment fut rénové par les Hollandais – ce qui lui valut son nom de Dutch Palace (le Palais Hollandais). En réalité il s’agit d’un rénové édifice construit par des Portugais à l’intention du Prince de Cochin vers 1557. c’est sous la protection d’un rajah hindou résidant dans ce palais que vinrent se fixer les premiers persécutés à Cranganore. Après 1661 l’édifice fut occupé par les gouverneurs hollandais qui opérèrent des transformations avant de le restituer au Rajah de Cochin. Le Durbar Hall central, où se déroulaient le cérémonie de couronnement abrite la galerie des portrais des souverains de Kochi. On y voit aussi des palanquins et des textiles. Les chambres et les salles adjacentes sont renommées pour leurs belles peintures murales du XVIIème siècle représentant des thèmes religieux et mythologique, ainsi que des épisodes du Ramayana. St. Francis Church Fondée au début de 16ème siècle par les Portugais, c’est l’une des plus anciennes égilse européennes d’Inde. Sa façade toute simple servit de modèle aux égilses ultérieures, l’église est aujourd’hui rattachée à l’Église d’Inde du Sud. L’intérieur abrite des pierres tombales comportant des inscriptions, dont la plus anciennes et une épitaphe portugaise de 1562. Vasco da Gama fut enterré ici in 1524 avant d’être rapatrié au Portugal 14 ans plus
Chennai (Madras) et ses environs La ville Madras, appelé aujourd’hui Chennai occupe le S-E du Dekkan. Il ne comprend plus qu’une petite partie de l’ancienne Présidence de Madras qui fut l’une des grand circonscriptions administratives de la Compagnie des Inde. Chennai (Madras) est une des grandes villes de la péninsule et le meilleur point de départ pour la découverte du Tamil Nadu, et Kerala. Née de lq réunion de plusieurs villages, la ville ne possède pas de véritable centre, mais elle se divise en plusieurs quartiers, reliés par quatre rues principales. George Town s’etends au nord-est de Périyar George Town, tandis qu’Egmore, Triplicane et Mylapore se trouvent au Sud. L’artère principale de la ville, Anna Salai (Mount Road) relie Fort St. George et Mount St. Thomas, au sud. Les autre rues principales, Rajaji Salai (North Beach Road) et Kamaraja Salai (South Beach Road) longent le front de mer et la Marina en direction de Kalakshetra. Le Fort St. George: que l’on arrive du Port ou de la Marina, Beach road mène à l’imposante entrée du Fort. C’est un ensemble de constructions dense aui servait de base à l’Administration coloniale, Amirauté Governement civile, Casernes, égilse de la Haute Eglis Anglicane. Le Fort carré bâti en 1644 Francis Day, et agrandi par la suite résista victorieusement au siège d’un général d’Aurangzeb, Daud Khan, en 1702, et à celui de 1741 mené par les Mahrattes qui faillirent unifier l’Inde sous leur empire. Musée du Fort: Horaires – de 9 h à 16 h 30, fermé le vendredi, droit d’entrée 5 $, caméra vidéo ₹ 25 George Town: vers 1640 des tisserands et des teinturies venus a’Andhra Pradesh s’installèrent dans cette enclave, afin d’y fabriquer des tissus pour l’East India Company. Si les Britanniques baptisèrent le peuplement ‘Black Town’ ses habitants l’appelaient Chennaptnam d’où Chennai tient son nom. Lors de la reconstruction du site, 100 ans plus tard il fut rebaptisé George Town. Egmore: ce quartier recouvre toute la zone au sud de Periyar E. V. R. High Road (anciennement Poonamallee High Road) et le méandre de la Cooum. L’Est India Copany fit l’acquisitin de ce petit village à la fin du 17ème siècle, lorsqu’elle commença à etendre son territoire. Egmore fut également l’un des premiers quartiers résidentiels, où les marchands fortunés de la Companie construisirent des demeures entourées des jardins luxuriants. Government Museum: est le plus important musée au Chennai (Madras). Il disperse ses bâtiments dans un parc fluri et ombragé. Un bâtiment indo-mauresque abrite la plus grande bibliothèque du Sud d’Inde. Le musée lui-même, fondé en 1851 par la Madras Literary Society, débuta comme cabinet d’Histoire Naturelle. Il comprend aujourd’hui diverses sections: Archéologie et Préhistoire, Pierres et stèles sculptées, Statues anciennes de toute époque, Monnaies, Armes, Histoire Naturelle. Un bâtiment séparé est consacré à l’une des plus fameuses collections de bronwes de l’Inde. Certains ‘Shiva dansant’ de Nataraja sont des plus chefs-d’œuvre de plastique et d’harmonie. La National Art Gallery, anciennement Victoria Memorial Hall and Technical Institute, est sans doute le plus beau bâtiment du complexe. Conçu par Henry Irwin, le bâtiment en grès rose de style néomoghol a été achevé en 1909. À coté, la contemporary Art Gallery abrite une belle collection d’art contemporain indien, et notamment d’artistes du Sud de l’Inde comme Raja Ravi Verma. Horaires – 09h30 à 17h30, fermé le vendredi, droit d’entrée 5 $ billet de appareille photo ₹ 200 Caméra vidéo ₹ 500 Temple de Kapaleeshwarar: Reprendre Luz Church Road, au S. On arrive devant le temple de Shri Kaplaleeshwara. Kapaleeshwara “le Seigneur de Crânes” c’est Rudra, l’un des aspects redoutables du grand dieu Shiva qui exprime la terreur inspirée pas les forece destructrices de la Nature. Ce dieu est la principale divinité de ce sanctuaire à qui l’on attirbue une origine plus que bi-millénaire, sans doute pré-shivaïque et pré-brahmanique. Un grand bassin sacré s’étend à proximité tout au long du jour on peut apercevoir des fidèles pratiquant des bains rituels. Les processions diurnes ou nocturnes qui se déroulent aux alentours du temple ne manquent pas d’intérêt (se renseigner sur les dates des fêtes à processions) Horaires – 06h00 à 13h00. et de 16h00 à 20h00 Mahabalipuram (Mamallapuram) À 63 Km de Chennai (Madras), Mahabalipuram ou Mamallapuram est desservie par une bonne route. Certains textes anciens parlent de Mahabalipuram. Les Anglais désignaient le site sous le nom de Seven Pagodas (bien qu’on dénombre effectivement plus de sept temples). Une petite pointe rocheuse et une anse ont suffit, sur une côte inhospitalière, pour créer très tôt un centre commecial probablement signalé par Ptolémée. Le dynastie de Pallava de Kanchipuram en fit un port important à 20 lieues de leur capitale. Des établissement civils ou militaires, probablement en matériaux légers, rien n’a survécu, seuls subsistent les vestiges religieux tirés de la pierre. Inscrit au Patrimoine mondial de l’UNESCO, fut une importante ville portuaire, fondée au 7ème siècle par le roi pallava Narasimha Varman Ier surnommé Mamalla ‘le Grand Lutteur’ ce site spectaculaire, sur le golf du Bengale, s’étend dans un paysage parsemé de blocs de pierre. Les nombreaux ateliers du village perpétuent la tradition de la sculpture qui a donné naissance à ces merveilles. Un coup d’œil: Certains des temples religieux et monumentaux sont: Shore Temple (temple du rivage), Bhagiratha Penance, Pancha Pandava Cave Temple, Krishna Butter Ball, Olakkanatha Temple, Mahishasuramardini Cave Temple, Ganesh Ratha, Archaeological Museum et Trimurti Cave Temple. Temple le groupe central : Le plus important, s’etend sur quelques centaines de mètre. Son élément principal est une portion de falaise sculptée, la Descente du Gange, connue traditionnellement comme “l’ascèse d’Arjuna”. Il s’agit en fait ici d’une erreur de la tradition populaire Arjuna, guerrier puissant, haut en couleurs, n’eut jamais rien d’un ascète. En réalité il s’agit d’un saint roi Bhagîratha, roi de la dynastie solaire d’Ayodhya dont un ancêtre fut Rama, l’héros du Ramayana. Le récit mythologique est celui-ci, Brahma, séduit par les pénitences du saint roi, accepta d’accorder à la Terre le Gange céleste à condition que Shiva donnât son agrément, il fallait que les
Planifier un voyage en Inde, c’est là que la magie commence – et c’est tout aussi bien, comme dans notre expérience de vivre en Inde et de voyager à travers l’Inde, au moins un certain niveau de planification de voyage en Inde avant de partir est nécessaire – beaucoup plus que pour d’autres Pays asiatiques. Pourquoi la nécessité de planifier un voyage en Inde à l’avance ? L’Inde a des façons uniques de faire les choses, et si vous êtes un étranger qui planifie votre première fois en Inde, il peut être frustrant (au mieux) d’essayer de naviguer dans la bureaucratie et les systèmes indiens (ou leur absence) pendant que votre temps de voyage alloué coule régulièrement loin. La question de savoir comment voyager en Inde n’est pas simple – c’est un sous-continent, après tout. Il est également important de préparer votre voyage en Inde à l’avance pour d’autres raisons. Vous voudrez en savoir plus sur la culture indienne afin de tirer le meilleur parti de votre voyage en Inde, peut-être apprendre un peu d’hindi, découvrir quel itinéraire en Inde vous convient le mieux, déterminer les endroits à visiter (qui peuvent être très éloignés ). Il existe également de nombreuses opportunités de soutenir le tourisme durable en Inde lors de votre voyage, ce qu’un peu de planification rendra beaucoup plus facile à faire. Je recommande également de lire sur les voyages en toute sécurité en Inde (en particulier pour les femmes) et sur les escroqueries à surveiller. Malheureusement, les voyageurs non préparés pour la première fois en Inde sont des cibles faciles pour les escrocs à leur arrivée à Delhi et dans d’autres villes – mais un peu de préparation peut vous éviter beaucoup de tracas et être une autre victime d’escroquerie. Enfin et surtout, en prenant le temps de planifier votre voyage en Inde à l’avance, vous tirerez bien plus de l’expérience. Que ce soit votre première fois en Inde et que vous planifiez un itinéraire de 2 semaines en Inde, ou que vous passiez des mois en Inde, la planification vous aidera à vous détendre et à profiter de toute la magie que l’Inde vous réserve. Dans ce blog de voyage en Inde, je vais vous expliquer les choses les plus importantes à savoir lorsque vous commencez à planifier un voyage en Inde, ainsi que la façon de vous préparer à la meilleure expérience en Inde. Commençons! Statut actuel des voyages en Inde Les informations ci-dessous sont fournies dans le but d’aider les lecteurs à planifier de futurs voyages en Inde, mais sont susceptibles d’être modifiées sans préavis. Veuillez recouper avec des sources officielles telles que l’avis de voyage de votre gouvernement. En mars 2020, en réponse à la déclaration de la pandémie de Covid-19 par l’OMS, le gouvernement indien a mis en place une interdiction de voyager en Inde qui a arrêté les voyages en Inde à des fins touristiques et a vu tous les visas touristiques suspendus (ainsi que de nombreux voyageurs bloqués dans Inde). À partir de 2021, l’Inde a rouvert ses frontières pour le tourisme et, en 2022, les voyages internationaux vers l’Inde sont à peu près revenus à la normale. Il y a très peu de mesures covid en place actuellement en Inde – à l’exception du port de masques sur les vols, et en général, les voyages sont revenus à ce qu’ils étaient avant la pandémie. Les visas de tourisme pour l’Inde sont maintenant réédités – voir mon guide sur les visas électroniques pour l’Inde ici – et les frontières sont entièrement ouvertes. Pendant la pandémie de Covid-19 et les fermetures, un nombre inimaginable de personnes travaillant et dépendant du tourisme pour gagner leur vie ont eu du mal à joindre les deux bouts. Tout au long de ce blog de voyage en Inde sur South India Voyages, je me concentre sur la promotion des organisations qui ont un impact positif sur les communautés en Inde, et nous recommandons aux voyageurs en Inde de soutenir les initiatives de tourisme durable et local partout où ils le peuvent. Quand visiter l’Inde ? L’une des premières étapes pour planifier un voyage en Inde consiste à décider du meilleur temps pour visiter l’Inde pour vous. Il y a 3 saisons principales – bien que comme tout, à mesure que notre climat mondial change, ces saisons deviennent brumeuses et parfois capricieuses. Alors, emportez un pull et un imperméable au cas où ! Haute Saison – Hiver – Octobre à Mars. L’hiver indien tombe entre octobre/novembre et mars et c’est la période la plus populaire pour visiter l’Inde. Attendez-vous à des journées chaudes et fraîches (sauf dans l’extrême nord et les montagnes de l’Inde où il fait vraiment hivernal et / ou inaccessible). Le festival populaire Divali a lieu (octobre/novembre). Réservez à l’avance car c’est la haute saison, en particulier à Noël, au Nouvel An et à Divali. Le meilleur moment pour y aller si vous voulez du beau temps. Hors saison – été – fin mars à juin. La majeure partie de l’Inde devient insupportablement chaude et sèche, à partir de la mi/fin mars selon l’année. Beaucoup viennent pour Holi (février/mars) qui marque le début du printemps. Mais entre fin mars et juin, il fait vraiment trop chaud pour faire du tourisme, sauf si vous vous dirigez vers les stations de montagne et les montagnes du Ladakh, de l’Himachal Pradesh, de l’Uttarakhand et du Sikkim-Darjeeling. À éviter à partir de fin mars, sauf si vous vous dirigez vers les collines. Saison Intermédiaire – Mousson – Juillet à Septembre. Une grande partie de l’Inde reçoit des inondations périodiques pour la mousson qui commence fin juin et se termine en septembre ou octobre selon l’année et l’endroit où vous vous trouvez en Inde. Cela peut être un bon moment pour explorer des régions de l’Inde avec moins de monde – toutes les régions de l’Inde ne reçoivent pas beaucoup de pluie (le Rajasthan et le nord en reçoivent relativement peu), mais voyager pendant la mousson demande de la patience et peut mal tourner. Le meilleur moment pour y aller si vous voulez éviter les foules et que cela ne
Le Kerala est la région la plus célèbre du sud de l’Inde et j’ai eu la chance de la visiter à deux reprises ces dernières années. Si vous m’avez suivi sur les réseaux sociaux lors de ce voyage, vous aurez compris que ce fut une expérience véritablement magique. Le slogan du Kerala Blog Express était « Voyage d’une vie » et c’était vraiment le cas. J’ai eu le privilège de visiter des endroits magnifiques et de découvrir la culture et les traditions du pays en compagnie de 29 parfaits inconnus qui sont ensuite devenus amis pour la vie. C’est l’une des grandes magies du voyage : vous partagez le voyage avec des gens que vous ne connaissez pas et en peu de temps s’établissent des liens qui resteront pour toujours. Mais je ne veux pas vous encombrer de ma sentimentalité, il est donc temps de vous dire tout ce que vous ne pouvez absolument pas manquer si vous faites un voyage au Kerala. Dans cet article: Pourquoi choisir le Kerala? Le mot Kerala vient de l’union de 2 mots : kera qui signifie cocotier et alam, qui signifie terre, ou pays des cocotiers. Ces plantes se retrouvent en effet partout et bordent tout le littoral. Le Kerala est une région profondément différente du reste de l’Inde. Des nombreux explorateurs étrangers (Vasco de Gama notamment) y débarquèrent attirés par le commerce des épices et partout subsistent des traces de son passé colonial, églises chrétiennes de rite syrien, mosquées, maisons de style hollandais et portugais, édifices de l’époque du raj et même une synagogue du XVIe siècle à Kochi. La tolérance a une longue tradition et ici, sans aucun désordre, tous les types de confession ont été acceptés, qui ont ensuite pris au fil du temps une couleur locale. Le Kerala est l’une des régions les plus riches de l’Inde, c’est celle avec le taux d’alphabétisation le plus élevé (93 %), celle dans laquelle la pauvreté est à peine visible (mais cela ne veut pas dire qu’elle n’est pas là !) et la culture conserve son originalité. des personnages introuvables ailleurs. Bref, c’est la région parfaite pour aborder l’Inde en douceur !À cela s’ajoutent bien sûr des paysages uniques : les backwaters, par exemple, vous ne les trouverez qu’ici et valent à eux seuls un voyage en Inde. Comment demander un visa pour l’Inde? La première étape à franchir pour un voyage en Inde est de demander un visa. Heureusement, depuis avril 2017, vous pouvez facilement demander (et obtenir) un visa électronique (e-Tourist Visa) depuis le confort de votre canapé à la maison en utilisant votre ordinateur. Vous pouvez retrouver toutes les informations détaillées pour en faire la demande dans l’article Visa pour l’Inde : comment demander le visa électronique (e-Visa). Quand partir au Kerala? À l’exception des plus hautes montagnes, le sud de l’Inde a un climat chaud toute l’année et comporte essentiellement deux saisons : une sèche et une pluvieuse (ou mousson). Au Kerala, il y a 2 saisons de mousson : la mousson du sud-ouest en mai/juin qui est la plus forte et la plus violente, et la mousson du nord-est en octobre/novembre qui est plus légère. En général, la période d’octobre à mars est la meilleure pour voyager dans cette région car le climat est sec et doux. En été, il ne pleut pas beaucoup mais la chaleur est vraiment insupportable (sachez que déjà en mars/avril, elle atteint 40° avec une humidité certainement élevée). Comment se déplacer au Kerala? A moins d’avoir beaucoup de jours disponibles, je vous conseille de ne pas voyager en transports en commun (même si l’expérience du train indien doit être faite au moins une fois dans sa vie !) car s’y retrouver dans les horaires, les billets et les itinéraires n’est pas mineure et prendra quand même beaucoup de temps. beaucoup plus longtemps. De même, je vous déconseille de louer une voiture et de la découvrir en autotour. En Inde, les routes sont partagées avec d’autres voitures, mais aussi avec des vaches, des vélos, des tuk tuks, etc. et il est définitivement dangereux de conduire dessus si vous n’êtes pas indien. La chose la plus pratique à faire est de prendre une voiture avec chauffeur, vous pouvez négocier l’itinéraire à l’avance afin d’être sûr de visiter tous les lieux que vous souhaitez en toute liberté. Une agence fiable (et reconnue par le gouvernement du Kerala) qui propose ce type de service est South India Voyages. Connectivité et Internet : la SIM virtuelle indienne? Si vous avez/envisagez d’utiliser votre téléphone portable pendant votre séjour en Inde, à moins d’avoir un contrat qui inclut les appels/data hors Europe, vous aurez obligatoirement besoin d’une SIM indienne, sinon vous risquez de dépenser une fortune ! Cependant, acheter une carte SIM indienne est très compliqué car cela nécessite une sorte de code fiscal que les touristes n’ont pas. La solution la plus pratique, si votre téléphone mobile le prend en charge, est d’acheter une e-sim, c’est-à-dire une SIM virtuelle sur Airalo. De cette façon, vous pourrez l’activer depuis en France et vous n’aurez pas à abandonner votre SIM français car vous aurez les deux. Comme vous pouvez le voir sur le site, il existe différents forfaits allant de 1,2,5 jusqu’à 10G (si vous en manquez, vous pouvez ensuite les recharger). L’installation est très simple !Voyage au Kerala : 10 expériences à ne pas manquer 1. Naviguez sur les backwaters Les backwaters – eaux intérieures – du Kerala représentent un incontournable pour n’importe qui visite le pays. Naviguer le long du labyrinthe de canaux qui serpente sur 900 km entre la côte et l’arrière-pays est probablement l’expérience qui vous laissera la plus grande impression de tout le voyage. Les bateaux traversent des lacs peu profonds bordés de palmiers et parsemés de filets de pêche chinois (les relations commerciales avec la Chine ont une tradition séculaire !) et empruntent des canaux étroits et ombragés où ils se chargent de fibre de coco, de couverture (la pulpe de coco déshydratée) et
Le yoga signifie être séparé le lien avec ce qui cause la souffrance. Le yoga doit être pratiqué avec détermination et avec un cœur immobile. Raja Yoga, la voie intégrale Le système classique du Yoga a été développé par Patanjali dans les Yoga Sutras, basé sur des traditions plus anciennes remontant à l’époque védique. Appelé Raja Yoga ou Royal Yoga, il couvre toute la gamme des pratiques yogiques allant des asanas et pranayama aux mantras et à de nombreuses formes de méditation. Le Yoga Intégral est comparable à l’Ayurveda intégral qui traite de manière égale tous les aspects de notre nature, du corps à l’âme et toutes les méthodes de guérison possibles, de l’utilisation de la nourriture à la méditation. Selon Patanjali « le yoga est le contrôle total des opérations de l’esprit ». Ces opérations de l’esprit appelées vritti constituent toutes les activités mentales, depuis les mémoires subconscientes profondes jusqu’aux intuitions supraconscientes les plus élevées. Patanjali ne fait pas référence au contrôle normal de l’esprit, mais à la maîtrise complète de tous les niveaux de conscience, y compris les couches subliminales et cosmiques normalement inconnues même de la psychologie moderne. Ce n’est qu’à partir d’un tel contrôle de l’esprit que peut naître la connaissance de notre véritable Soi (Atman ou Purusha) au-delà de la manifestation, qui est le but final de la pratique du Yoga. L’esprit devient un miroir qui reflète notre véritable Soi, dont la nature est pure conscience. C’est l’état de libération (moksha) dans lequel nous au-delà du temps le temps, l’espace et le karma et entrons dans l’infini, l’éternel avec notre propre existence. Mais pour parvenir à ce type de contrôle mental, il est nécessaire de maîtriser le corps, les sens et le prana, ainsi que les aspects extérieurs de la vie personnelle et sociale. C’est pour cette raison que le yoga n’exclut même pas les aspects normaux de la vie comme la nutrition et met l’accent sur l’importance de l’Ayurveda. Les huit parties du Yoga Le Raja Yoga propose une approche intégrale (ashtanga) en huit parties du développement de la conscience. Ils sont comme des parties du corps et travaillent ensemble de différentes manières. Chacun a son propre rôle nécessaire à un développement adéquat, même si tous n’ont pas la même importance. 1)Yama – Règles de comportement social 2)Niyama – Règles de comportement individuel 3) Asana – Positions physiques 4) Pranayama – Contrôle de la force vitale 5) Pratyahara – Contrôle des sens 6) Dharana – Utilisation correcte de l’attention ou du contrôle de l’esprit 7) Dhyana – Méditation 8) Samadhi – Absorption Les cinq premières parties – du yama au pratyahara – constituent l’aspect extérieur du Yoga. ils en ont un Les cinq premières parties – du yama au pratyahara – constituent l’aspect extérieur du Yoga. ils ont un caractère préliminaire et créent les bases d’une pratique plus approfondie. Les deux premiers (yama et niyama) font référence à l’attitude correcte, aux valeurs et à la pratique du style de vie nécessaires au Yoga, son fondement éthique. Les trois autres (asana, pranayama, pratyahara) sont des moyens de contrôler les aspects extérieurs de notre nature : le corps, la respiration et les sens. Les trois derniers (dharana, dhyana et samadhi) sont appelés samyama ou intégration car, par nature, ils travaillent ensemble. L’attention mène naturellement à la méditation qui à son tour conduit à l’absorption, à l’unité entre celui qui perçoit et la chose perçue. Ils nous conduisent à la connaissance de notre vrai Soi. L’Ayurveda harmonise le corps et le prana pour nous permettre d’avancer dans le processus interne de méditation. Cela fait avant tout partie des aides extérieures du Yoga. La guérison ayurvédique de l’esprit implique l’utilisation d’aspects internes du yoga tels que les mantras et la méditation. L’Ayurveda partage donc le même objectif que le Yoga mais avec une orientation et une conception différente. 1 & 2. Yama et Niyama : le fondement dharmique du Yoga et de l’Ayurveda Les Yamas ou principes dharmiques du comportement social sont : la non-violence (ahimsa), la véracité (satya), le contrôle de l’énergie sexuelle (brahmacharya), l’abstention de vol (asteya) et le manque de possessivité (anabhinivesha). Ils établissent la bonne interaction avec les autres êtres humains et avec l’environnement extérieur. Un comportement social correct est important pour la santé, le bien-être psychologique et le développement spirituel. En suivant ces règles, nous n’aurons pas d’influence néfaste sur le monde et nous ne nous laisserons pas entraîner dans des complications externes dues à de mauvaises relations et propriétés. Les yamas sont aussi un code de conduite pour les médecins : ne pas nuire, dire la vérité, ne pas avoir de relations sexuelles avec les patients, ne pas facturer des honoraires indus pour les traitements, ne pas être attaché à la profession ou à ses résultats. Les niyamas ou principes dharmiques du comportement personnel sont : le contentement (santosha), la pureté (shaucha), l’auto-étude (svadhyaya), l’autodiscipline (tapas) et l’abandon à la volonté de Dieu (Ishvara pranidhana). Ce sont les principes de vie nécessaires pour introduire la pratique du Yoga dans votre vie. Ils constituent également la base du mode de vie recommandé par l’Ayurveda pour équilibrer la constitution. La pureté comprend un régime végétarien et une désintoxication physique. L’abandon au divin est la clé pour mener à bien toutes ces pratiques qui ne peuvent se faire avec le seul effort personnel. Les trois derniers – l’autodiscipline, l’étude de soi et l’abandon au divin – sont les fondements du Kriya Yoga, le Yoga de l’action interne qui prépare une personne à l’expérience du samadhi. Yama et niyama constituent le fondement dharmique ou éthique pour vivre correctement, y compris les pratiques saines de l’Ayurveda. Ces deux ensembles de principes vont de pair. Tant que nos relations sociales ne sont pas intactes, nous ne pouvons pas avoir d’intégrité dans notre comportement personnel et vice versa. Dans le Yoga, il n’y a aucune insistance sur le fait de devoir suivre un chemin plutôt qu’un autre. Le yoga nous encourage à suivre le chemin qui satisfait le mieux
Mumbai (Bombay), Inde : Meilleures Attractions – Guide de Voyage – Choses à faire Mumbai (connue sous le nom de Bombay avant 1995) est une ville aux nombreux contrastes. C’est sans doute la ville la plus cosmopolite de l’Inde, pleine de restaurants gastronomiques, d’hôtels cinq étoiles, de résidences chics de mégastars de Bollywood et de sites célèbres. On estime que 23 millions de personnes (dans la zone métropolitaine) vivent dans cette métropole animée, donnant à la plus grande ville de l’Inde une sensation distinctement chaotique et énergique. Bombay : à savoir avant de partir Malgré nos expériences de vie à Mumbai, nous ne prétendons pas tout savoir sur cette ville immense et en constante évolution, et encore moins être en mesure de la condenser en un seul article de blog. Considérez les suggestions de ce guide comme des points de départ pour vos explorations, qui vous donneront envie de revenir et de découvrir davantage Mumbai lors de votre prochain voyage en Inde ! Voici quelques éléments à connaître spécifiquement sur les voyages à Mumbai. Pour des conseils généraux sur la préparation de votre premier voyage en Inde, lisez notre guide pour planifier un voyage parfait en Inde ici !
Ceux qui osent faire un voyage dans l’État du sud du Kerala découvriront une partie de l’Inde qui n’a rien à voir avec l’image typique des turbans et des saris aux couleurs vives, des chameaux et du désert. Voyager au Kerala, c’est découvrir un lieu où le rythme de vie est tranquille et convivial, le paysage si exubérant qu’il enivre et les gens si discrets qu’ils émerveillent. Il compte parmi ses frontières des plantations de thé, des plages avec des palmiers, des villes coloniales et ce vaste réseau de canaux connus sous le nom de backwaters. De plus, c’est dans cet état entouré de montagnes et d’eau que le voyageur peut aller voir des représentations théâtrales comme le Kathakali ou contempler les rituels du Theyyam, sans oublier qu’il peut suivre des soins ayurvédiques, le système de santé préventif millénaire. Sans aucun doute voyager au Kerala, c’est découvrir une terre où parfois on se demande si l’on est en Inde. Et pourtant, elle devient peu à peu l’une des nouvelles destinations du pays préférées des touristes. Sommaire 1- Voyage au Kerala, l’état indien le plus avancé 1.1- À savoir du Kerala L’État indien du Kerala se distingue par son système de santé et d’éducation et par l’intégration des femmes dans la vie active. 2- Que voir et faire lors d’un voyage au Kerala 2.1- Munnar et les champs de thé Bien que cette petite ville soit peu attrayante, le paysage environnant est si vert et parfumé qu’il vaut la peine d’y passer au moins une nuit. Située au confluent de trois rivières de montagne (Muthirapuzha, Nallathanni et Kundala) et perchée à 1 600 mètres d’altitude, la station de montagne de Munnar était la station balnéaire de l’ancienne administration britannique en Inde du Sud. Pas en vain, son climat frais offre un répit au voyageur s’il vient du chaud Tamil Nadu. Parmi ses attractions, il y a des cascades, des lacs et même des éléphants à l’état sauvage que l’on peut voir même depuis les routes. Et bien sûr, vous pourrez profiter de ce paysage de champs de thé sans fin. Nous sommes allés à Munnar où nous sommes allés voir le théâtre kathakali. C’était par hasard. Comme il n’arrêtait pas de pleuvoir, nous avons demandé quelque chose qui puisse être fait autrement que de monter la montagne. Ils nous ont indiqué un théâtre à la périphérie. Le théâtre n’était guère plus qu’un tas de planches, d’ouralite et de plastique. Mais dès que l’acteur est monté sur scène pour montrer la technique du maquillage, le silence s’est fait dans la salle. Il y avait beaucoup de spectateurs indiens. Et nous deux. C’était fascinant et même si ce n’était pas un théâtre aménagé pour les touristes avec de l’argent, je pense que cela vaut la peine de poser des questions. 2.2- Kochi, la plus belle ville du Kerala Kochi est probablement l’une des plus belles villes indiennes du pays. Le passé colonial a sa marque sur la région de Fort Kochi. Là, le voyageur pourra se promener entre des maisons portugaises, à côté d’un cimetière hollandais ou dans un quartier juif. De plus, c’est au bout de cette zone de la ville que se trouvent les emblèmes non officiels des célèbres backwaters : les filets de pêche chinois, héritage des marchands de la cour de Kublai Khan. Pour vous donner une idée de la taille de ces réseaux, il faut un minimum de quatre personnes pour gérer chacun d’eux. A Kochi, il ne faut pas non plus s’arrêter de se balader dans le quartier de Mattancherry. Outre le palais construit par les Portugais et rénové par les Hollandais, on y trouve un grand nombre de magasins d’épices et de galeries d’art. Pour voir les premiers, il suffit de se laisser guider par l’odorat. Suivez le parfum des clous de girofle et de la cannelle. Et inévitablement, cela finit dans un commerce d’épices. Cette ville peut également être un bon endroit pour voir des spectacles de kathakali dans des théâtres climatisés remplis de touristes occidentaux. 2.3- Backwaters du Kerala Ils sont le joyau du Kerala en Inde. Un joyau qui malheureusement est surexploité, et le lieu devient peu à peu surpeuplé, perdant une partie de son charme. Ces canaux entourent la côte et coulent à l’intérieur des terres. Les plus larges et les plus profondes peuvent être couvertes dans l’une des barques à riz traditionnelles. Autrefois, ils servaient au transport de marchandises. Aujourd’hui, ils ont été transformés en bateaux préparés pour les touristes. Vous pourrez passer la journée à bord de l’un d’eux, vous allonger paisiblement sur le pont et contempler la vie au bord des canaux. Voir les villes, les temples ou les écoles. Le tout enveloppé dans un paysage tropical attrayant dans lequel les palmiers sont les protagonistes. Il peut aussi faire nuit, mais personne ne rêve de dormir alors que le bateau est emporté par le courant. Dès qu’il fait noir, tous les bateaux rentrent au port. Et c’est là que tu dors. Remerciez, car les bateaux à riz se déplacent avec un moteur, et avec tous ceux qui existent, imaginez le bruit. Il y a de plus en plus de bateaux dans les backwaters. Plus de bruit. Plus de pollution. La promenade n’est plus aussi agréable qu’on l’imagine tous, bien qu’il soit toujours très attrayant de voir le paysage et les bateaux qui vont et viennent. Mais il y a la possibilité d’oublier ces grosses houseboat. Et explorez les backwaters à pied, à vélo et en petits bateaux. Pour cela, il est préférable de contacter une agence de la région. Ils organisent tout. Sinon il serait difficile de faire le lien entre le vélo, avec la partie en bateau et ce qu’il faut faire à pied. Il est très intéressant de voir les canaux de cette façon. Il n’y a généralement pas de touristes, juste des pêcheurs, des filets chinois et des enfants qui jettent des pierres dans l’eau. Si je devais choisir et recommander
Mahabalipuram (Mamallapuram) À 63 Km de Chennai (Madras), Mahabalipuram ou Mamallapuram est desservie par une bonne route. Certains textes anciens parlent de Mahabalipuram. Les Anglais désignaient le site sous le nom de Seven Pagodas (bien qu’on dénombre effectivement plus de sept temples). Une petite pointe rocheuse et une anse ont suffit, sur une côte inhospitalière, pour créer très tôt un centre commecial probablement signalé par Ptolémée. Le dynastie de Pallava de Kanchipuram en fit un port important à 20 lieues de leur capitale. Des établissement civils ou militaires, probablement en matériaux légers, rien n’a survécu, seuls subsistent les vestiges religieux tirés de la pierre. Inscrit au Patrimoine mondial de l’UNESCO, fut une importante ville portuaire, fondée au 7ème siècle par le roi pallava Narasimha Varman Ier surnommé Mamalla ‘le Grand Lutteur’ ce site spectaculaire, sur le golf du Bengale, s’étend dans un paysage parsemé de blocs de pierre. Les nombreaux ateliers du village perpétuent la tradition de la sculpture qui a donné naissance à ces merveilles. Un coup d’œil: Certains des temples religieux et monumentaux sont: Shore Temple (temple du rivage), Bhagiratha Penance, Pancha Pandava Cave Temple, Krishna Butter Ball, Olakkanatha Temple, Mahishasuramardini Cave Temple, Ganesh Ratha, Archaeological Museum et Trimurti Cave Temple. Temple le groupe central : Le plus important, s’etend sur quelques centaines de mètre. Son élément principal est une portion de falaise sculptée, la Descente du Gange, connue traditionnellement comme “l’ascèse d’Arjuna”. Il s’agit en fait ici d’une erreur de la tradition populaire Arjuna, guerrier puissant, haut en couleurs, n’eut jamais rien d’un ascète. En réalité il s’agit d’un saint roi Bhagîratha, roi de la dynastie solaire d’Ayodhya dont un ancêtre fut Rama, l’héros du Ramayana. Le récit mythologique est celui-ci, Brahma, séduit par les pénitences du saint roi, accepta d’accorder à la Terre le Gange céleste à condition que Shiva donnât son agrément, il fallait que les eaux puissantes du fleuve divin passent par la chevelure de Shiva pour qu’elles perdent une partie de leurs fources qui autrement auraient submergé le monde. La paroi ciselée fait face au soleil levant levant qui lui donne son plus bel éclat, immence “tableau” de granite travaillé en haut-relief, voici plus de treize siècles La paroi O de cette falaise est œuvrée différemment. Dépasser un petit temple monolithe de Ganesh “un ratha” tourner vers la gauche quelques degrés conduisent à une grotte dégagée dont les mus présentent diverses déités, Varaha (avatar de Vichnou en sanglier) arrachant aux eaux du Déluge la gracieuse déesse Terre, Gaja- Lakshmi ou Lakshmi aux éléphants, siégeant en majesté, douchée par l’un des pachydermes, la déesse Durga, Vamana (avatar de Vichnou en nain) vainqueur d’un Titan. Continuer dans le chaos de cette face O mais il est préférable de revenir devant “la Descente du Gange” pour continuer vers le S le mandapa de Krishna suit la fresque de granite.Continuer vers le S, pénétrer dans l’enceinte du phare moderne. Une série de grottes et de temples sont creusés ou édifiés le long de l’arête granitique qui devient de plus en plus chaotique le plus important est le mandapa de Yamapuri dieu de la Mort, avec deux intéressantes sculptures. Horaires – 06h00 à 18h00,Droit d’entrée – Rs.250,00
Au cours de la dernière décennie, l’intérêt pour les questions de santé a augmenté de façon exponentielle dans le monde occidental, et de plus en plus de gens considèrent la doctrine indienne de la santé Ayurveda comme une partie naturelle d’un concept de santé. Le mot Ayurvéda signifie connaissance de la vie et remonte aux anciens Védas. Le corps et l’âme vont ensemble et la personne est considérée comme un tout. Le Kerala est le cœur de l’Ayurveda. Des gens du monde entier viennent ici pour suivre des traitements ayurvédiques plus ou moins longs. Certains viennent parce qu’ils ont des maladies de toutes sortes, mais la grande majorité vient pour se ressourcer, c’est-à-dire se déstresser, reprendre des forces et se sentir bien. Une semaine ou deux de soins relaxants combinés avec de la nourriture végétarienne, du yoga et un climat agréable peuvent faire des merveilles pour la plupart des gens. La gamme de l’Ayurveda au Kerala est vaste. Vous y trouverez de tout, des spas luxueux aux simples cliniques. La qualité des traitements, ainsi que les prix et la fiabilité varient considérablement et il n’est pas tout à fait facile de trouver le bon parmi toutes les offres. Afin d’être vraiment satisfait de votre voyage ayurvédique, vous devez réfléchir à ce que vous attendez du voyage. Vous pouvez obtenir un arrangement strict avec un forfait d’au moins deux semaines comprenant l’hébergement, la consultation du médecin, les soins ayurvédiques quotidiens, la pension complète avec une cuisine végétarienne spécialement adaptée, le yoga et la méditation. Des règles strictes concernant les temps de traitement, ne pas s’exposer au soleil, ne pas sortir inutilement de la zone, etc. Vous pouvez également choisir une installation moins stricte où vous combinez votre séjour avec d’autres expériences de l’Inde, un hébergement confortable, du soleil, des bains et un peu de luxe. Ou pourquoi ne pas diviser le voyage en partie ayurvédique et en partie expérience de vacances. Massage Vous n’êtes pas obligé de séjourner dans un spa ayurvédique pour profiter d’un massage relaxant. Presque tous les hôtels proposent un traitement ayurvédique quelconque et, en particulier dans les resort, hôtel de 3 à 5 étoiles, les cliniques sont proches les unes des autres. Yoga Quel que soit votre âge ou si vous avez déjà pratiqué le yoga, c’est une bonne idée d’essayer le yoga pendant votre séjour au Kerala. Les grands hôtels ont souvent leur propre terrasse de yoga où les clients de l’hôtel et les autres sont les bienvenus. Le coût est payé directement au professeur de yoga. Dans les resorts, en particulier Varkala, Kumarakom, Kovalam, et Vypin Island il existe de nombreux professeurs de yoga qui proposent des cours ou des cours pour débutants ou avancés. Essayez le yoga et il y a un gros risque de rester bloqué ! Pendant plusieurs années, South India Voyages Shankar a été l’organisateur de voyages de yoga au Kerala. Nous avons ensuite eu un professeur d’Indien avec nous qui a amené son propre groupe. Si vous faites partie d’un groupe de yoga ici à la maison, ou si vous êtes instructeur de yoga, et pensez qu’il serait intéressant de voyager au Kerala avec des participants du groupe, nous pouvons vous fournir des contacts au Kerala.