séjour et circuit des Pondicherry

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Puduchéry ou Pondicherry

Cette curieuse ville tamoule présente des aspects divers, certaines rues sont celles d’un village de l’Inde méridionale dans un cadre de cocotiers, d’autres, plus proches de la mer, présentent une apparence de sous-préfecture, françsaise endormie sous les tropiques. Aujourd’hui, Pondichéry est la capitale d’un Territoire de l’Union indienne qui rassemble également Karikal, Mahaé et Yanam. Ce n’est plus qu’un humble souvenir de l’Empire colonial d’Ancien Régime disparu après les guerres malheureuses du 18ème  s. Ce Territoire de 479 km². L’ancienne capitale des territoires français en Inde a été fondé en 1674 par François Martin, premier directeur de l’Est India Company. La ville est aménagée sur un plan en damier, avec des rues parallèles se coupant à angle droit. Sa promenade principale, Goubert Salai, qui se déroule sur 3k, de long du golfe du Bengale, appartenait au quartier français, avec ses élégantes demeures coloniales, ses boulevards bordés d’arbres, ses parcs, ses bars et ses cafés. Au-delà s’étendait un canal, aujourd’hui asséché, qui délimitait la ville tamoule, où vivait la poplulation locale.

Un coup d’œil : Certains des temples religieux et monumentaux sont :

Statue de Jeanne d’Arc, Government Square, Church of Our Lady of the Angle, Statue de Joseph François Dupleix, Manakula Vinayakar Temple, Aurobindo Ashram et Le Puducherry Museum

Shri Aurobindo Ashram et Auroville :

Pendant les premières décennies de ce siècle, beaucoup d’Indiens nationalistes trouvèrent refuge en territoire français, l’un d’entre eux, un sage et un philosophe, Sri Aurobindo abandonna les luttes politique pour la vie spirituelle. Il fonda un Ashram un centre spirituel où l’on espérait rechercher une synthèse des valeur de l’Orient et de l’Occident. A la mort d’Aurobindo en 1950, sa compagne et disciple, Française d’origine, devint l’inspiratrice de la Communauté, elle est devenue “la Mère” universellement connue dans la région de Pondichéry. Cet Ashram est aussi à l’origine d’un grand rêve, la création d’une cité internationale. Auroville sur les hauteurs qui dominent Pondichéry au N, où pourraient venir vivre tous les êtres épris d’une Réconciliation et d’une Fraternité universelles.

  • Horaires – de 06h00 à 12h30 et de 17h00 à 22h00
  • Appareil photo – Aucune photographie à l’intérieur.

Gingee Fort :

Gingee (appelé Senji localement) Fort est une véritable prouesses d’architecture militaire, c’est trois citalelles, perchées de manière spectaculaire sur trois collines. Gingee Fort est cité comme un fort Chola du 11ème s. on raconte qu’il étais tenu par un chef de bergers nomades, les Kurumbars. Au 12ème s. un roi Holysala de Belur au Mysore s’empara de la position, mais a la génération suivante au Kurumbar reprit la place et y édifia un fort grâce à un trésore trouvé dans la montagne sacrée. En effet, avant d’être un oppidum préhistorique, le sommet le plus élevé avait été un haut lieu consacré à sept déesse que connaît encore la tradition locale. On peut voir encore un sanctuaire primitif à mi-hauteur du Rajagiri, il est dédié à l’une des sept déesses Senji-Ammal, que l’on appelle aussi Kamalakanni Ammal “la Dame au Lotus” qui dans la tradition brahmanique est la déesse Saraswati. La visite de la forteresse permet de retrouver des témoins de toute cette histoire. Il est conseillé de visiter Gingee entre décembre et février et de faire les escalades au premières heures du jour. L’effort sera récompensé par le panorama remarquable que l’on obtient des deux principaud sommets.

  • Horaires – de 09h00 à 16h30
  • Appareil photo – Gratuite
  • Droit d’entrée : Rs. 100

Tiruvannamalai:

Est une ville sainte des Hindous de l’Inde du Sud. Le temple d’Arunachala est dédié au culte shivaïte du “Tejas” ou “Tejo Lingam” c’est à dire la vénération de l’Energie créatrie sous la forme du Feu. Ce culte semble avoir succédé à un culte solaire (Aruna ou Surya, le Soleil, achala = immuable). Ce temple du Lingam du feu, est ainsi d’une certaine manière celui du Soleil éternel, force créatrice évoquée  par le Lingam étincelant. Il est situé au d’une montagne (malai) sacrée (tiru) un des plus grands sancutaires de l’Inde du Sud, son enceinte couvre une superficie de 10 ha. Le gopuram d’entrée formé de onze étage, sculptés,  atteint 60, de haut. Lieu saint où l’on obtien la libération du cycle des naissances  “Mokcha” les pèlerins y accourent surtout pendant les dix joursde fête de la pleine lune de Kartikai (nov-déc). Une des cérémonies situelles comporte une circumambulation de la colline.

  • Horaire: 06 à 21h
    Photographie est interdite
    Droit d’entrée: Gratuite (mais charge pour le cérémonie)

Chidambaram:

Chidambaram de l’autre côté de la rivière Vellar, au N du delta irrigué de la Kaveri, fut l’une des capitales des rois Cholas qui régnait sur le riche delta. La temple de cette ville sont parmi les plus anciens du S de l’Inde. Le temple de Nataraja (Shiva) daterait au moins du 6ème s. Une légende atteste qu’un roi Chola eut une apparation de Shiva dansant ou Nataraja “le roi de la Danse sacrée” ou encore Natesa (Le Danseur). Cette danse représente l’énergie de l’Acte Créateur dans son dynamisme et sa Joie, c’est cette danse cosmique que toutes les sculptures de temple vont évoquer. Les quatre bras harmonieusement disposés de Shiva emporté dans le mouvement de tout son être veulent exprimer la continuité des mouvements rythimiques, cette fifure du dieu si populaire dans le monde dravidien et si bien traduite par les bronzes anciens est peut-être née sur les bords de la Kaveri.

  • Horaires – de 08h00 à 12h30 et de 14h00 à 18h00
  • Appareil photo – Aucune photographie à l’intérieur.

Kumbakonam

Située sur la rive sud de la Kaveri, c’est l’une des villes sainte du Tamil Nadu, à l’instar de Kanchipuram, c’est ici que, selon la légende, la flèche de Shiva aurait brisé le pot de terre cosmique contenant le divin nectar de la création. Kumbakonam doit à ce mythe  son nom et son caractère sacré. Aujourd’hui la ville incarne les valeurs culturelles traditionnelles de la terre tamoule. C’est aussi le centre marchand et artisanal de la région, connu pour ses textiles, ses bijoux et son travil du bronze. On raconte que lorsque le nectar divin s’écoula du pot de terre, il remplit le gigantesque Mahamaham Tank. C’est le terre sacré de Kumbakonam et aussit le lieu de la grande fête de Mahamaham qui se déroule tous les 12 ans. Le bassin sacré, renové par le Nayaka au 17ème s. Au nord se dresse le Kashivishvanatha Temple, dont le petit sanctuaire fait face à l’eau. A l’est du bassin l’Adikumbaheshvara Temple, du 17ème s. se dresse là où Shiva aurait brisé le récipient. Le temple possède une superbe collection de vahana “véhicule” utilisés lors des festivités pour transporter les divinités du temple.

Darasuram:

Darasuram Le spectaculaire Airavatesvara temple à 4km de à l’ouest de Kumbakonam a été construit par le roi chola Rajaraja II. Il est dédié à Shiva, appelé ici Airavatesshvara “seigneur d’Airavateshvara”. La légende veut que, lorsque Airavata, l’éléphant blanc d’Indra, le dieu des Cieux, retrouva sa couleur perdue, il vénéra Shiva à cet endroit. Le temple à quatre niveaux possède un sactuaire et trois hall, dans le plus beau est le Rajagambira Mandapa, conçu comme un chariot de pierre tiré par des chevaux caparaçonnée et conduit par Brahma.

Gangaikondacholapuram:

L’art Chola s’est diffusé dans toute la région de Tanjore. A 60 Km, Gangaikondacholapuram fut la capital de Rajraja II, au retour d’une expédition victorieuse dans le N-E, où il vaincu les Chalukya de Kalyana et prétendait avoir atteint le Gange. Le temple est de vingt années postérieur à celui de Tanjore, mais le roi vainqueur voulait surpasser la gloire de son père. C’est le même style qu’au temple de Brihadishwara, mais les détails architecturaux sont plus élaborés. L’enceinte fait songer à un fort. Le vimana semblerait plus trapu si ces arêtes légèrement incurvées ne lui donnaient pas plus de grâce.